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 Amélia [Présentation validée]

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Amélia

Amélia
Lómilendë 1.0


Feuille de personnage
Nationalité: Inconnue
Magie pratiquée: Aucune
Âge: 25 ans

Nombre de messages : 33
Date d'inscription : 11/07/2007

Amélia [Présentation validée] Empty
MessageSujet: Amélia [Présentation validée]   Amélia [Présentation validée] Icon_minitimeVen 13 Juil 2007 - 21:30
Nom : Inconnu
Prénom : Amélia
Age : Inconnu, elle en paraît un peu plus de 20
Nationalité : Finlandaise


Famille : Elle en a eu beaucoup trop pour toutes vous les citer et elle ignore tout de sa véritable famille et de ce qu’elle est réellement. A sa famille ont pourrait éventuellement associé son « amant sanguinaire » dont on ignore tout. D’ailleurs est-ce vraiment un amant ? Quelques précisions trouvées dans un article publié en 1999.

Citation :
Un assassin traversant les siècles

Bon nombre de rumeurs ont circulé sur un certain dénommé Gregory – le nom ayant été entendu par une victime qui juste avant de rendre son dernier souffle aurait délivré l’information. Recherché dans de nombreux états en Amérique, totalement craint en Europe, associé à un nombre considérable de légendes en Asie, beaucoup d’endroits sur cette terre ont été sujets à ses meurtres violents. Malheureusement, personne n’a réussit à expliquer un phénomène bien étrange ; tous ses meurtres sont répertoriés sur différents siècles, voir plus. Le seul rapport qu’on a pu émettre à son sujet et à ses chers assassinats a toujours été qu’une femme restait en vie après chaque carnage, et encore, cette femme semblait toujours être la même personne, étrange.
Les autorités propre à chaque pays expliqueraient un crime passionnel se perpétuant de générations en générations dans deux familles bien distinctes. Aucun renseignement concret, ne nous est jamais parvenus sur ses soit disantes deux familles. C’est pourquoi les citoyens suspectent les enquêteurs de l’affaire de mensonges pour rassurer le public.
Le dernier bain de sang commis par ce personnage inconnu remonte à seize ans et pourtant les foules tremblent toujours…


Article publié par Johan MacDilg, dans le Times, Angleterre, 1999

Histoire : En 1751, une lady d’une vingtaine d’année à peine se promenait seule dans les ruelles de Londres, un soir de pleine lune. Elle était vêtue de bordeaux, plus précisément, d’une magnifique robe comme les nobles en portaient à cette époque. Jamais cette si belle femme n’aurait deviné que son cauchemar débuterait par une soirée aussi magnifique. Quelques temps après une errance dans les rues désertes de la capitale, un homme d’une beauté exquise du point de vue de la damoiselle se présenta à celle-ci. Il se prénommait Gregory, était rêveur, beau parleur et fort sympathique. Les deux étrangers conversèrent durant de longues heures, sans voir celles-ci passées. Leur discussion se portait sur des sujets futiles ; comme le temps et tout autre propos de courtoisie. Notre dame tomba complètement sous le charme de son interlocuteur. Passé minuit, elle devait prendre le chemin du retour. Une fois raccompagnée à sa demeure, son prince charment lui embrassa sa fine main pour lui dire au revoir et lui souhaiter une douce nuit. La jeune femme lui demanda d’une voix claironnante :
« Vous reverrais-je, monseigneur ? »
La réponse fut un acquiescement de tête. La jouvencelle disparut dans la nuit et Gregory murmura, comme s’il s’adressait à elle, d’une façon étrange avec un brin de sadisme dans la voix :
« Ne vous en faîte pas ma belle. Nous nous reverrons bien assez tôt… »
Depuis cette nuit, des jours passèrent, des semaines défilèrent et finirent par ce transformer peu à peu en quelques mois. La tendre fille se mourrait d’amour pour un inconnu devant sa fenêtre, elle ne sortait que très peu de sa résidence. Aujourd’hui était une de ces rares journées où la demoiselle abandonna sa famille occupée à déguster un succulent repas pour marcher et prendre l’air. Vers 17h, elle rentra, et à cette heure précise sa vie s’éteignit quelques instants. La situation d’horreur qu’elle dût apercevoir malencontreusement déclanchera ses premières « visions ». En effet, dans un bain de sang, sa famille avait été complètement décimée et qui se tenait là au sommet de cet acte immonde ? Gregory. Tout ce sang, toute cette boucherie, tous ses visages n’exprimant que désespoir et horreur la paralysa. A partir de ce moment tout devint noir, tout disparut, tout avait été oublié…

1874, sur la grande place de Paris – la ville lumière –, une mendiante qui devait approcher la vingtaine criait à l’égard des gens toutes sortes de mises en garde saugrenues et d’appels au secours démesurés. Son discours n’intéressait pas le moins du monde les passants qui la dévisageaient avec un certain dégoût lancé à son égard. Seul un prêtre de la belle Notre-Dame s’approcha de la vagabonde et tenta de l’apprivoiser. Il lui proposa à manger, un toit et un enseignement chrétien dans sa cathédrale afin de la bénir et d’expier ses pêchés. La dépravée accepta, car sa faim devenait insupportable et l’idée d’un logement chaud et confortable hantait ses rêves. Une fois lavée et habillée par des bonnes sœurs, la débauchée se transforma en une véritable lady. Ensorcelante et somptueuse étaient les deux adjectifs qui lui correspondaient le mieux à ce moment même. Le curé ainsi que ses religieuses tentèrent de connaître le passé de la jeune femme, mais de sa bouche, aucun mot ne fut délivré sur son passé, elle ne parlait que de ses visions qu’elle avait sans cesse et qui lui torturaient l’esprit. Chaque jour, au confessionnal, elle tentait d’expier ses pêchés et d’être pardonnée de Dieu. Son bienfaiteur lui donnait toujours treize « Je vous salue Marie » et sept « Notre Père » comme pénitence à exécuter et quotidiennement, elle le fit sans rechignée. Deux ans plus tard, alors qu’elle se rendait comme chaque jour à l’église, elle pria l’abbé de la bénir, mais la voix de celui-ci était changée et comme familière.
« Tu n’es pas des leurs, tu ne peux pas vivre à ta convenance, tu dois souffrir et vivre avec tes souvenirs, tu dois te tourner vers le chemin qui t’es destiné, le chemin qui t’a été donnée par les tiens. Te rappelles-tu Amélia ? »
La dénommée Amélia sortit de l’isoloir, tremblante. Un jeune homme se tenait devant elle, un jeune homme d’une beauté exquise, qui dans ses mains ensanglantée tenait la tête du religieux mort dont le corps restait sans vie. Amélia s’effondra, tomba à genoux et tout en tenant sa tête entre ses petites mains gracieuses, elle se souvint. Ce garçon, qui l’avait charmé autrefois, était Gregory, celui-là même qui avait tué sa famille, ou tout du moins ceux qu’elle pensait être sa famille et il venait de recommencer, il avait à nouveau tué la personne que la torturée considérait comme sa seule famille. Tous ses souvenirs revenaient, se mélangeaient, se séparaient, disparaissaient pour reparaître toujours plus fort, mourraient et enfin renaissaient sans cesse. Des souvenirs même antérieurs à sa vie de Londres qu’elle ne se rappelait plus baignés dans le sang et la désolation montaient en elle comme un feu jaillissant d’une forêt. Amélia n’en pouvait plus, était à bout de force, tout redevint noir, à la seule différence que cette fois, elle n’oublierait pas.

Vers le milieu de l’année 2001, Amélia paraissait toujours ses 20 ans. Complètement détruite de l’intérieur, depuis plusieurs années, la pauvre folle ne trouvait plus de sens à sa vie. Gregory hantait sa tête jour comme nuit, cela devenait pesant et obsédant et elle avait peur de se lier à qui que se soit sous peine que son « cher et tendre » vienne le massacrer comme il s’en était pris à ses autres « familles ». Pourtant, sans personne à qui se lier, la perturbée ne pouvait s’empêcher de penser a lui. Se balançant de gauche à droite, sa chère Victoria en main – poupée qu’elle avait trouvée un jour et qui depuis ne la quittait plus –, dans les rues sombres, la démente se trouvait à Tampere, une grande ville de Finlande située à une centaine de kilomètres d’Helsinki. Là-bas commença pour elle une vie meilleure, le jour où elle apprit qu’Erzèbeth Nàsdy cherchait à embaucher une domestique. Instantanément une vision lui apparut, il y avait près de cinq cents ans environ, la détraquée avait eu à faire à son ancêtre, Elisabeth Bathory, une femme plus ou moins sanglante. Elle se présenta devant sa descendante. Malgré sa personnalité peu conventionnelle et ses dires plus ou moins étranges, elle se vit acceptée par cette dernière pour sa loyauté, son sens du travail acharnée et ses multiples voyages qui montraient qu’elle ne s’attachait pas à un pays en particulier. Tout se passa à merveille durant les premiers mois, seulement les premiers mois, car par la suite, Amélia eut une nouvelle vision beaucoup plus violente sur un assassinat qui se passa deux jours plus tard d’ailleurs, mais de ce détail, elle n’en parla point. A son réveil, elle eut l’immense surprise de voir que sa chère maîtresse ne l’avait pas jeté dehors. Cet accident eut l’extraordinaire avantage de rapprocher les deux femmes. Il se reproduisit sept mois plus tard, mais à nouveau, sa sauveuse la garda avec elle. Cet honneur était important pour la jeune demoiselle et un grand respect naquit dans son cœur à l’égard de la comtesse. Notre Amélia a trouvé sa nouvelle famille…


Loisirs/Passions : Brosser les cheveux de ses poupées, avec une préférence pour ceux de Victoria.
Phobie(s) : Hémophobie ; elle est terrifiée devant la moindre goutte de sang.
But(s) ou Projet(s) Futur(s) : Son état de folie ne lui permet pas de voir si loin dans l’avenir. Elle ne vit que pour servir sa nouvelle maîtresse, sa nouvelle « famille ».


Caractère : Comment vous expliquer ce caractère aussi complexe qu’est celui d’Amélia ? Une âme torturée par mille tourments pourrait résumer bien des choses. Ce qui est certains, c’est qu’elle a bénéficier de caractères différents tout au long des époques ; tantôt comtesse tantôt religieuse et j’en passe, son caractère a bien évolué au fil des siècles, mais aujourd’hui ? Ce cœur si tourmenté a perdu presque toute raison de vivre. Heureusement, son esprit est ravivé par son travail ; s’occuper de sa chère maîtresse. Amélia est comme une enfant qui a oublié de grandir, elle pense à ses poupées à longueur de temps et vit dans la peur de décevoir sa seule famille, Erzèbeth Nàsdy. Très naïve et docile, elle obéit facilement aux ordres. Au-delà de ses aspects de gamine, Amélia est une personne au cœur pur. Douce, gentille et pleine de bonnes volontés, seulement sa façon d’être à cause de ses souffrances psychiques empêchent les autres de voir ses qualités. Attention, elle est loin d’être bête, Amélia est même très intelligente et loin au-dessus de la moyenne, bien sûr, cette qualité se cache aussi derrière sa personnalité si dérangée. Lorsque ses visions lui prennent, son tempérament change subitement ; elle devient froide, distante, méchante voir violente. Une fois que cela lui passe, elle devient fragile et pleure souvent en constatent ce qu’elle a osé dire ou faire.
Physique : Pour vous décrire notre charmante Amélia, je ne crains qu’il faille que je ne commence par vous parler de sa beauté naturelle laquelle a été appréciée lors de toutes les époques dans lesquelles elle a vécut. Cette splendeur est sûrement due à sa longue chevelure d’un noir corbeau ou à la finesse de ses membres, telles ses mains, si gracieuses, si douces. Sa peau anormalement blanche ne change rien à son charme spontané, elle a comme quelque chose d’envoûtant au premier regard, elle paraît semblable à celle d’un ange ou d’un être pur, elle n’use d’ailleurs d’aucun fond de teint superflu. Ses yeux sont noirs et maquillés avec finesse de cette même couleur – une habitude de sa condition de 1751, où l’apparence des femmes était importante. Ses ongles sont eux aussi imprégnés du même noir – souvenir d’une période antérieur à ce qui vous a été conté. Notre chère Amélia n’a certes plus toute sa tête, mais elle garde un goût prononcé pour son apparence et son habillement. Sa garde-robe ne contient que de belle robe pour la plupart blanche, mais un blanc si pur, si délicat et si fragile que parée ainsi, notre Amélia semble exprimer toute sa personnalité. Petite et fine, mais pas naine et maigre, l’allure de son corps reflète un être sans défense qui ne veut qu’être protégé du monde cruel dans lequel il est forcé de vivre.

Signe(s) Particulier(s) : Amélia a quelque fois des visions sur l’avenir comme sur le passé, parfois ces visions se transforment en souvenir de ses anciennes vies. Elle parle aussi à ses poupées et parfois aux objets. Il lui arrive aussi de se parler à elle-même. C’est une vraie schizophrène, sa personnalité est très changeante. Son âge reste le même, elle ne vieillit pas, mais elle ne sait pas non plus ce qu’elle est exactement.

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Erzèbeth Nàsdy

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MessageSujet: Bienvenue   Amélia [Présentation validée] Icon_minitimeVen 13 Juil 2007 - 21:37
Très bonne présentation !
Validée, bienvenue Amélia !
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