Nom : Corera
Prénom : Karell
Age : 28ans
Nationalité : Equatorien

Famille : Ses sœurs, Veronica, Selena et Candelaria. Son père Juanes et sa mère Stella. Et sa tante Averalia
Histoire : Karell vit le jour un 12 Décembre 1995 à Cuenca, une grande ville d’Equateur dans une famille d’humains de classe moyenne. Très vite le jeune garçon, cadet de trois filles, se détacha de ses sœurs. Il était introverti et sensible. Medium aussi. Enfin en théorie, car il ne le disait pas, mais le jeune Sud-américain voyait des ombres qui lui parlaient, lui contait le futur, proche ou très, très lointain. C’est ainsi que Karell su que son grand-père mourrait d’un cancer du foie, que sa mère ferait une fausse-couche, que Candelaria ne serait pas promue … Juanes et Stella aimaient profondément leur fils, mais ils ne pouvaient le protéger du monde entier, car oui, le monde entier en voulait au jeune noiraud. Ses sœurs ne l’aimaient pas, le trouvaient trop étrange, ses professeurs relevaient ses excellents résultats en art mais médiocre dans les autres branches et ressassaient sans cesse que Karell était mal intégré, ses camarades de classe l’avait élu bouc-émissaire et le reste de sa famille l’ignorait. Trop différent. Trop solitaire. Un jour, Juanes fut excédé de le voir exclu et rejeté il l’envoya donc dans une haute-école d’art à Guayaquil –la plus grande ville du pays – espérant le voir recommencer à zéro, retenter sa chance. La séparation fut très dure pour Karell, sa mère et son père étant ses seuls « amis », les seules personnes qui l’aimaient et le montraient. Mais bravement le jeune homme obéit et se rendit chez sa tante Averalia. Une femme qu’il n’avait vu qu’une fois mais qui, habitait au centre de la capitale économique équatorienne et qui voulait bien le loger et le nourrir, ses parents n’ayant pas les moyens de lui payer une colocation. La chose que Karell redoutait le plus après la séparation c’était la relation avec sa tante. A part ses parents tous les membres de sa famille le haïssaient. Ce fut une surprise, et de taille.

Un jour, alors que le jeune garçon dessinait dans sa chambre, il vit, non une ombre, mais le corps d’un homme, translucide, flotter devant lui, le regardant avec douceur. Le cadet des Corera poussa un cri de stupeur. Jusqu’à maintenant il avait été habitué à voir des formes noires, des ombres, mais pas des personnes … des fantômes. Averalia accourut dans la chambre, Karell allait trouver une excuse mais sa tante lui coupa la parole et lui dit :

"Ne t’inquiètes pas, ce n’est que mon mari, ton oncle, José."

Karell n’en revenait pas. Elle le voyait ! Mais comment était-ce possible. Les yeux agrandis quelques secondes auparavant par la peur l’étaient maintenant par la surprise

"- Tu n’es pas le seul à pouvoir communiquer avec les esprits et à les voir Karell. C’est moi qui ai convaincu ton père de te faire venir ici, à Guayaquil. Et pas pour suivre une stupide école d’art, non ton don ce n’est pas le dessin, ni l’écriture, et encore moins la photographie. Mais le Chamanise.

-Le quoi ?

-L’art de contrôler, reconnaitre, aider … les esprits."

Un silence envahit la pièce ni la tante, ni l’enfant ne bougeaient plus. Ce fut le fantôme de José qui reprit la parole

"-Tu n’es pas comme le reste des Corera, tu es un Chaman, et Averalia t’a inscrit dans une prestigieuse école de magie. Santa Via, au Guatemala.

-Mais … je dois suivre l’école des hauts-arts de Guayaquil est …"

Bredouilla le gamin. Sa tante l’interrompit

"-J’ai envoyé une lettre à tes parents disant que tu avais été gradé, que tu étais trop doué et que la direction avait décidé de t’envoyer dans une école de renommée internationale

-Mais tu as menti !"

S’insurgea le Karell

"Absolument pas. Tu es trop doué pour aller dans cette vulgaire école, et Santa Via est la deuxième meilleure école du monde des sorciers ! Concernant la direction … ici c’est moi qui commande."

Averalia afficha un sourire plaisantin et poursuivit d’une voix douce

"Karell, je comprends que tu aies peur. Mais tu seras bien mieux dans ce monde, celui des sorciers. C’est ton élément. Et ne t’inquiète donc pas, je m’occuperai d’annoncer la vérité à tes parents."

Ce fut ainsi que Karell alla suivre le début de sa scolarité à Santa Via, c’était un élève très doué, il communiquait aisément avec les esprits et les maîtrisaient sans problèmes. Mais là encore la vie du petit Equatorien fut bouleversée. Car une fois que Juanes et Stella apprirent la vérité ils prirent peur et refusèrent de reconnaitre que leur fils était un sorcier, un Chaman, ils déménagèrent donc en Europe, en Espagne, à Madrid. Au plus grand dam d’Averalia et des sœurs de Karell. Mais la décision fut irrévocable. Et la famille s’installa en Europe. Les quatre enfants suivirent leurs scolarités dans une école publique de la capitale. Enfin, les trois, car un mois a peine après leur arrivée à Madrid les Corera reçurent une lettre bien étrange, une lettre adressé à Karell, en provenance de l’Irlande. Il s’avéra que c’était une inscription pour une école bien spéciale, Lómilendë, une école de magie. Et alors que ses parents allaient la jeter, le cadet réagi pour la première fois de sa vie.

"Non ! Je veux suivre mes études là-bas."

S’en suivit une longue discussion. Après des heures de « parlement », Juanes et Stella cédèrent et comprirent que le bonheur de Karell consistait à suivre sa scolarité en Irlande. Et donc, à l’aube de ses treize anns, le cadet des Corera s’envola pour Lómilendë.

Loisirs/Passions : L’art en général. Le dessin, la photographie, l’écriture et le chant
Phobie(s) : Karell à peur de perdre le contrôle d’un esprit et de ce faire posséder par ce dernier
But(s) ou Projet(s) Futur(s) : Pas de projet particulier. Juste réussir ses études et retrouver sa tante Averalia et son pays qui lui sont si chers.


Caractère : Karell est introverti et timide, il n’aime pas la foule et le contact social. Ce jeune Sud-américain est de nature pacifique et ne fera jamais de mal à personne et puis d’ailleurs comment ? Durant treize années le cadet des Corera n’a fait que de côtoyer des êtres immatériaux, incapables d’infliger la moindre souffrance physique, Il ne sait donc ni se battre, ni utiliser un quelconque pouvoir dans le but de blesser. En société le jeune Equatorien sera irréprochable, poli, serviable et effacé. Depuis que Karell à fait connaissance avec sa vraie nature il ne craint plus les esprits, et donc, lorsque l’ado est seul il parle avec entrain des ses problèmes, de ses rêves et des envies avec les défunts qu’il peut voir. Il arrivera souvent au noiraud de se lancer dans des « quêtes » destinées à aider les âmes déchues ou les esprit retenus sur terre. Aider et aimer. Voilà comment fonctionne Karell, le jeune Corera part du principe que chaque personne qu’il rencontre est gentille. Il est par contre totalement conscient qui il y a des gens mauvais, et que certains s’en prendront à lui. Sa manière de réagir ? Les éviter, les ignorer. Pourquoi provoquer, ou répondre alors qu’on peut s’effacer et excéder l’interlocuteur tout en se préservant ?
Physique : Taille moyenne. Cheveux de jais, comme ses trois sœurs et ses parents. Peau blanche, du moins par rapport à sa famille. Il est issu du milieu blanc de l’équateur. Des yeux bleus azur, communs, ce qui est particulier chez Karell c’est sa gesticulation. Gracieuse, presque féminine, céleste même. L’Equatorien s’habille principalement de noir, couleur commune, aidant à être « Monsieur ou Madame Toutlemonde ». Il a deux piercings en dessous de la lèvre inférieure depuis que l’esprit d’un adolescent lui a demandé des se faire percer car il avait également deux piercing et se sentait seul. La gentillesse de Karell serait trop poussée ? Non, car une fois cela fait, l’esprit pu partir en paix, et ça c’est le plus beau cadeau que peut avoir le noiraud, libérer des âmes, faire le bien.

Signe(s) Particulier(s) : Il est plus âgé que ses camarades étant donné qu’il a déjà suivit quelque mois de cours à Santa Via. Ses piercings.

Section Souhaitée : Wahei
Statut : Elève

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Bonne présentation, quelques petites fautes, mais rien de grave. Cependant je ne peux pas la valider, je ne sais pas si ta différence d'âge est acceptée (et étant juste modératrice, ce n'est pas à moi de le décider).

En attendant qu'un des admins vienne te donner le verdict, je te demanderais d'éditer ta présentation, et de corriger tes quelques fautes (que j'ai l'incroyable gentillesse de te donner, pour t'éviter de tout relire...) :
"ses professeurs ressassaient", "la séparation fut très dure", "il vit", "mais là encore", "la décision fut", "durant treize années", "sa vraie nature" et "et ça".

Je ne pense pas devoir revenir poster ici, alors je te souhaite avec un peu d'avance un très bon jeu (et une bonne année, tant qu'on y est).